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19/04/2023

CHN n°25 : LA MOUVANCE IDENTITAIRE BLANCHE AUX ETATS UNIS (VOL. 1)

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Cette histoire, écrite par Rémi Tremblay, est racontée en trois volumes. Le premier sortira le 30 mars prochain.

Une grande Histoire méconnue en Europe

Rémi Tremblay

Pourquoi cette histoire de la mouvance identitaire blanche aux États-Unis en trois tomes ?

Tout d’abord, parce que fort peu de livres traitent de ce sujet, tant en français qu’en anglais. Des monographies ont été consacrées à certains personnages ou organisations de cette mouvance, mais rien abordant le sujet de façon globale n’a jusqu’à présent été publié en français, hormis l’ouvrage de François Duprat et d’Alain Renault sur les fascismes américains [en vente sur ce site], qui se termine en 1945.

De plus, contrairement aux autres auteurs francophones qui se sont penchés sur la question, je suis allé aux sources premières, ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié, que j’ai visité à d’innombrables reprises.

Pour documenter le présent travail, j’ai ainsi eu un accès direct aux œuvres publiées par les mouvements des nationalistes blancs américains : j’ai lu leurs manifestes, leurs œuvres de fiction, leur propre version de leur histoire, ainsi que des milliers de pages de revues et de journaux, datant aussi bien du siècle dernier que des dernières décennies. À cela s’ajoute l’examen des rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de rapports de police, des sources souvent négligées, quoique souvent très précises et très instructives.

Contribue aussi à l’originalité du présent travail le fait qu’un très grand nombre de participants directs ont accepté de se confier dans des entrevues durant parfois plusieurs heures. Ils me décrivirent leur perspective, m’orientèrent vers certaines lectures, me confièrent des anecdotes inédites et me remirent à l’occasion des documents introuvables. J’ai ainsi eu l’aide inestimable de nombreuses personnes que je tiens à remercier, tels Ed Fields, David Duke, Kirk Lyons, Gerhard Lauck, Martin Kerr, Frank Collins, H.A. Khoeler, Mike Hallimore, William Williams, Billy Roper, Karl Hand, Henry, Sorcier impérial de l’Église du Ku Klux Klan, James Mason, Dennis Mahon, Charles Barbee, Richard Scutari et de nombreux autres acteurs de cette histoire, par exemple des pasteurs de l’identité chrétienne, des militants néonazis, des activistes de l’Alt-Right ou de la mouvance nationaliste blanche, ainsi que des adeptes du Klan. Tous acceptèrent de collaborer avec ce journaliste étranger qui écrivait un livre sur leur histoire.

Le fait que je contribue également à plusieurs médias américains plus ou moins liés à la mouvance nationaliste blanche m’a permis d’adopter une perspective différente, un point de vue de l’intérieur plutôt que de l’extérieur. En effet, de nombreuses personnes mentionnées dans le présent ouvrage sont des personnes avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer.

Plusieurs de ces acteurs sont aujourd’hui décédés.

Le présent livre se divise en quatre parties. Une section introductive s’efforce de définir les contours du sujet abordé dans le livre, à savoir ce qu’il faut entendre par des expressions comme mouvance racialiste blanche ou nationalisme blanc. Par la suite, un premier tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se terminant avec la fin de la Seconde Guerre mondiale qui chamboula le paysage politique américain et ouvrit la porte à la déségrégation. Le lecteur pointilleux constatera peut-être que certains mouvements importants, comme celui l’Identité chrétienne, ne sont pas mentionnés dans le premier tome, mais il ne s’agit pas d’oublis. Dans certains cas, pour mieux cerner l’évolution dans le temps de certains groupes, il est apparu préférable de les traiter dans les tomes subséquents et de décrire leur genèse au moyen de retours dans le temps.

Les tomes deux et trois traiteront la période allant du début des années 1945 jusqu’à aujourd’hui de façon thématique. Seront ainsi traités, dans le tome 2, les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la Constitution, la religion ou la liberté.

Dans le tome 3 on se penchera sur les groupes pour lesquels la position racialiste se mariait avec une approche révolutionnaire. La ligne est parfois mince entre les deux catégories et un tel classement thématique pourra apparaître fort subjectif, d’autant plus qu’il existait une grande porosité entre les mouvements des deux catégories et que des périodes de convergence ont souvent estompé les différences.

Certains, qui ne liront probablement pas ce livre, le taxeront d’apologie du racialisme. Les autres, vous chers lecteurs, y verrez l’histoire rarement racontée avec objectivité d’une mouvance qui marqua et marque l’histoire de l’Amérique.

L’auteur : Rémi Tremblay

Militant politique, historien et journaliste engagé, Rémi Tremblay est avant tout un patriote québécois. Il fait d’ailleurs partie de la direction du Harfang, le bimestriel de la Fédération des Québécois de souches.

Nous lui devons déjà deux Cahiers d’Histoire du national­isme. L'un consacré à Adrien Arcand (n°12 -  cliquez ici) en 2017 et au fascisme canadien et un autre à Oswald Mosley, et aux fascistes britanniques (n°14 - cliquez là) en, 2018.

En France, il donne aussi régulièrement des articles dans le quotidien Pré­sent et dans la revue Synthèse nationale.

États-Unis, la mouvance identitaire blanche (1er volume, de l'indépendance à 1945), Rémi Tremblay, sortie 30 mars 2023, 190 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

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CHN n°24 : LES 50 ANS DU FRONT NATIONAL

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Avoir eu tellement raison

L'introduction de Guirec Sèvres

La sortie de vingt-quatrième titre de la collection "Les Cahiers d'histoire du nationalisme" correspond au cinquantième anniversaire de la création du Front national au cours de l'automne 1972. Bien sûr, nous ne pouvions pas laisser passer cet événement sans l'aborder et surtout, sans essayer de rappeler certains épisodes qui ont marqué l'existence du FN et qui sont aujourd'hui souvent oubliés, voire ignorés.

Ce Cahier n'a donc pas la prétention de commenter toutes les étapes de l'édification et du développement de ce parti qui, depuis sa percée historique de 1984, occupe, il faut bien le dire, une place centrale (ce qui est plutôt cocasse pour un parti qualifier "d'extrémiste") dans la vie politique française. Il entend seulement rappeler les faits tels qu'ils se sont passés entre 1972 et 2017, année de la transformation du Front national en Rassemblement national.

Au-delà de la chronologie (non exhaustive), quelques évènements marquant, ou quelques orientations idéologiques ou politiques adoptées par le FN au cours de ces 50 années, sont abordés par les contributeurs qui y ont pris part ou s'y sont particulièrement intéressés. Qu'il s'agisse de la campagne présidentielle de 1974 ou des suivantes, du concept des Fêtes des Bleu Blanc Rouge, du lancement de National hebdo, du rôle des élus FN à partir de 1986 à l'Assemblée nationale ou dans les Conseil régionaux, du "coup de tonnerre" du 21 avril 2002 avec la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la Présidentielle... Nous ne pouvions pas non plus passer sous silence les différentes crises (qui ont bien souvent engendré des scissions) qui ont jalonné, du Parti des forces nouvelles, en 1973, jusqu'à celle des Patriotes de Florian Philippot en 2017, l'histoire du Front. Nous avons aussi recueilli, en fin d'ouvrage, quelques témoignages représentatifs.

En lisant ce livre, vous trouverez aussi un certain nombre d'articles ou d'encadrés consacrés à des cadres ou à des militants nationaux, hélas, décédés. Cette liste est sans doute loin d'être complète et nous regrettons sincèrement les oublis. Cependant, à travers elle, nous avons voulu rendre un hommage fraternel à toutes celles et tous ceux qui se sont battus pour la plus belle et la plus noble des causes, celle de notre Patrie, et qui ne sont plus là aujourd'hui.

L'évocation de tous ces faits, parfois tragiques, de toutes ces campagnes, souvent prometteuses, de tous ces militants disparus nous renforce dans notre conviction que le combat national et identitaire est le seul capable de provoquer un véritable élan salvateur dans notre pays et dans toute l'Europe.

Souvent, on entend dire ici ou là que "tout est foutu, qu'il n'y a plus rien à faire..." À ces éternels défaitistes, nous répondons par deux chiffres évocateurs : en 1974, Jean-Marie Le Pen fait 0,74 % lors de la Présidentielle, en 2022 la candidate nationale, sa fille Marine, fait près de 42 %... 42 % des Français qui, malgré le rouleau compresseur de la pensée dominante, n'hésitent plus à transgresser, car il s'agit bien d'une transgression et c'est cela qui est important...

"Ce qui ne se fait pas avec le temps ne résiste pas à l'épreuve du temps" dit-on souvent. En près de 50 ans, avec à sa tête Jean-Marie Le Pen et de nombreux cadres de qualité, le Front national s'est imposé comme étant une force nationaliste, voire identitaire, incontournable sur l'échiquier politique de notre pays. Pourquoi une telle longévité une telle réussite ? Tout simplement peut-être parce que le Front a eu, bien trop souvent et envers et contre tous, raison.

Cela valait bien l'édition de ce Cahier.

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En vente dans les bonnes librairies.

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CHN n°23 : L'ALGÉRIE FRANÇAISE, LE COMBAT POUR L'HONNEUR

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L’introduction de Philippe Randa :

À tous ceux qui ont œuvré ou œuvrent toujours pour rétablir les vérités

Longtemps nommée « événements d’Algérie » ou encore « Opérations de maintien de l’ordre en Algérie » pour en minorer la gravité et les conséquences, cette véritable guerre civile dura officiellement du 1er novembre 1954 au 5 juillet 19622 ; il fallut attendre le 18 octobre 1999 pour que l’appellation « guerre d’Algérie » soit officiellement adoptée en France.

Événements, opérations, guerre, comme l’on voudra, mais surtout drame effroyable qui brisa tant de destinés, frappa si cruellement des familles, fit naître rancœurs, frustrations et haines d’un bord ou de l’autre, autant des engagés volontaires que des appelés du contingent, qu’ils aient été catholiques, musulmans, combattants des Willayas ou de l’Organisation Armée Secrète.

Puis, en final de « ces événements », « ces opérations », « cette guer-re », il y a le drame des Pieds-noirs et l’injustice faite aux harkis qui donne souvent lieu, soixante ans après, à une monstrueuse et intolérable désinformation.

Aussi nous a-t-il semblé important, sinon juste, de privilégier, dans ce Cahier d’histoire du nationalisme, les témoignages d’acteurs de cette cause de l’Algérie française que des historiens ayant désormais « pignons à l’Élysée », Benjamin Stora en tête, s’efforcent de présenter de façon si caricaturale, si injuste et trop souvent si… erronée !

Ce Cahier d’histoire du nationalisme n’est évidemment pas exhaustif sur l’Algérie française ; il n’a d’autre ambition, à travers les témoignages rappelés ou mis en exergue d’acteurs (Jean Bourdier, Jean-Pierre Brun, Jean-Claude Giraud, Philippe Chiaverini, Camille Marie Gallic, Christian de la Mazière, Robert Saucourt, Pierre Dimech), à travers les  portraits de quelques grandes figures de l’OAS (Pierre Chateau-Jobert, Roger Degueldre, Serge Jeanneret, Raoul Salan, Jean Bastien-Thiry, Pierre Sergent), ou encore avec les réflexions et observations d’historiens, journalistes ou écrivains, (Philippe Aziz, Francis Bergeron, Richard Dessens, Philippe de Parseval, Jean-Claude Rolinat, Alain Sanders, Michel Vial… que de donner une autre vision, une autre approche, une autre sensibilité à la réalité d’une histoire qui n’a été que trop politisée…

Ce numéro des Cahier d’histoire du nationalisme est dédié à tous ceux qui ont œuvré ou œuvrent toujours pour rétablir les vérités, que ce soit par leur engagement, leur fidélité, leur passion restée intacte pour leur terre natale, leur colères contre les mensonges, les impostures, les forfaitures et toutes les « degaullaiseries » qui n’ont de cesse, depuis les accords d’Évian le 18 mars 1962, de répandre mensonges et calomnies sur les 132 années de colonisation française et les sept années et cinq mois de guerre civile.

À titre personnel, je tiens à dédier tout particulièrement ce Cahier à Jean-Pierre Rondeau, l’ami qui m’a engagé à publier ou republier tant d’ouvrages sur cette période, d’abord dans la collection « Vérités pour l’histoire » des éditions Dualpha et désormais dans la collection « Vérités guerre d’Algérie » aux éditions de l’Atelier Fol’Fer que j’ai reprises et qui avaient, sous la direction de Sabine Bénichou et d’Alain Sanders, publiés également tant de livres importants sur cette période.

Table des matières :

P 7           Présentation de Philippe Randa

P 9           Hommage à Jean-Pierre Rondeau

P 11        Chronologie

P 23        “Je ne regrette rien”. Richard Dessens

P 30        Entretien avec Jean-Claude Perez

P 34        Sus aux contre-vérités. Roger Socarrieu

P 38        La guerre d’Algérie à 20 ans. Daniel Cadet

P 41        1961, l’étrange victoire du FLN. Rémy Vallat

P 46        Témoinage d’un soldat légaliste…  Jean-Claude Giraud

P 48        Un “quarteron d’officiers rebèles à la retraite” Philippe Aziz

P 51        Raoul Salan en bande dessinée. Francis Bergeron

P 53        Il s’appelait Arthur Martinez. Philippe Chiaverini

P 59        L’OAS, mais laquelle ? Jean-Pierre Brun

P 69        Claude Joubert, l’homme de l’OAS le plus connu. Jean Bourdier

P 73        Une année dans la résistance Algérie française. Robert Sautourt

P 80        Commando de quartier. Yves Geoffroy

P 85        18-19 ans, c’était notre “résistance”. Jean-Claude Rolinat

P 101     L’OAS EST en Métropole. Gérard Lehmann

P 104     Les tortures des résistants Algérie française. Alain Sanders

P 108     Rencontre avec Camille Marie Galic. Philippe Randa

P 111     23 mars 1962 : la fusillade de la rue d’Isly. Michel Vial

P 115     Alger, 23 mars 1962, Psaume d’une ombre. Pierre Dimech

P 121     “De Gaulle a 70 ans, il est raciste et veut se mesurer aux Grands de ce monde”. Entretien avec Guy Pujante

P 125     Joseph Katz, le boucher d’Oran. Jean-Claude Rolinat

P 128     Belle, grande, généreuse la France… sauf avec les harkis. Philippe de Parseval

P 135     La trahison de nature politique. Entretien avec Manuel Gomez

P 138     La tragédie de l’Algérie française. Michel Klen

P 141     Pieds-noirs, les rapatriements en France. Entretien avec Gérard Crespo

P 145     Bibliographie de la guerre d’Algérie. Entretien avec Maurice Sarazin

P 148     Du Mouvement algérianiste d’hier au Cercle algérianiste d’aujourd’hui. Jean-Pierre Brun

P 150     Le 19 mars, une date anniversaire qui n’est toujours pas passée.

P 151     Le commando Georges. Entretien avec Armand Bénésis de Rotrou.

P 153     Deux enfants perdus de l’OAS. Christian de la Mazière

P 157     Roger Degueldre. Michel Vial

P 162     Pierre Sergent créateur de l’OAS Métro. Michel Vial

P 165     De Conan à Pierre Château-Jobert. Jean-Pierre Brun

P 167     Quatre figures de l’Algérie française : Lagaillarde-Susini-Martel-Ortiz. Guillaume Mansart

P 169     Hommage de Jean-Marie Le Pen à Pierre Lagaillarde

P 168     Quatre figures de l’Algérie française : Lagaillarde-Susini-Martel-Ortiz. Guillaume Mansart

P 178     La mort de Jean Bastien-Thiry sonne le glas de l’Algérie     française. Francis Bergeron

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