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18/06/2014

Le grand entretien avec Roland Hélie publié dans Présent du 7 juin dernier

8120-20140607.jpgRoland Hélie, directeur de Synthèse nationale, répond à Présent cliquez ici à l’occasion du lancement des Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Le premier numéro de ceux-ci est consacré à Léon Degrelle.

Entretien réalisé par Catherine Robinson

- A l’occasion du 20e anniversaire de sa mort, le premier numéro des Cahiers d’histoire du nationalisme est consacré à Léon Degrelle. Pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

En effet, le 30 avril dernier correspondait au 20e anniversaire de la disparition de Léon Degrelle. Personnage incontournable de la Belgique des années 1930 et 1940, Léon Degrelle a marqué non seulement l’histoire de son pays, mais aussi celle des mouvements nationalistes en Europe.

Rappelons qu’après avoir créé le mouvement Rex dans les années 30, mouvement nationaliste et catholique qui eut un franc succès, Degrelle s’engagea au début de la Seconde Guerre mondiale dans ce qui fut considéré alors comme étant « la grande croisade contre le bolchevisme ». Celle-ci le mena jusqu’aux portes de Stalingrad où il se conduisit en véritable héros. Lors de la débâcle de 1945, il réussit à se réfugier en Espagne où il entreprit une carrière d’écrivain. Resté fidèle à ses engagements jusqu’à sa mort et ayant payé très cher ceux-ci, Léon Degrelle a eu une carrière plus que fascinante. Voilà pourquoi nous avons pensé que ce premier numéro des Cahiers d’Histoire du nationalisme devait lui être consacré.

- Pourquoi le terme Cahier ?

La revue Synthèse nationale existe depuis huit ans. Il y a deux ans, nous avons lancé une collection intitulée Les Bouquins de Synthèse nationale. Il s’agit de livres thématiques destinés aussi bien aux militants nationalistes qu’à ceux qui veulent mieux connaître nos idées. Ainsi, nous avons édité, entre autres, une biographie du Président portugais Salazar, des recueils de textes sur José-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, Jacques Doriot, le chef charismatique du Parti populaire français, et un autre encore sur Dominique Venner quelques semaines après sa mort. De là est venue l’idée de dorénavant « standardiser » ces publications consacrées à des personnages, ou à des événements, qui ont fait l’Histoire de notre famille d’idées.

Voilà, en quelque sorte, la genèse des Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Ceux-ci ont l’ambition, à terme, de devenir une véritable encyclopédie.

L’Histoire des nationalistes, que ce soit en France ou ailleurs, est constamment falsifiée par nos ennemis, cela a assez duré. Qui, mieux que nous, est capable de raconter celle-ci sans forcément tomber dans les poncifs du « politiquement correct » ? En lançant cette nouvelle collection, Synthèse nationale répond à cette question.

- En quoi ces Cahiers sont-ils un complément aux revues d’histoire de notre famille de pensée et non une concurrence ?

Il existe, et c’est une très bonne chose, quelques revues d’histoire que l’on pourrait qualifier de non conformistes. La plus connue étant La Nouvelle Revue d’Histoire qui fait un travail remarquable. Toutefois, il s’agit là de revues « généralistes » qui abordent l’Histoire dans son ensemble.

Notre ambition est toute autre. Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme, comme leur nom l’indique, s’intéressent essentiellement à l’histoire des nationalismes français, européens et éventuellement autres.  Qu’il s’agisse de celle d’un mouvement, d’un homme ou celle d’un événement marquant. Le premier numéro, consacré à Léon Degrelle et au mouvement rexiste donne un ordre d’idée de l’esprit de la collection.

L’Histoire des nationalistes est riche en événements captivants, en hommes, et en femmes, d’exceptions et en mouvements originaux. Ce ne sont donc pas les thèmes qui manquent.

Nous pensons que, tel un peuple qui ne connait pas son histoire, une famille d’idées qui ignore la sienne est une famille d’idée qui n’a pas un grand avenir. Or, nous sommes persuadés que le nationalisme sera la grande idée des siècles à venir. D’où la nécessité de faire connaitre notre histoire.

- Comment s’est passée la collecte d’articles de ce Cahier, qui en a choisit les thèmes et les auteurs ?

Le principe est simple. Chaque livraison des Cahiers explore sur environs 200 pages un thème précis. Nous confions à un spécialiste du sujet le soin de diriger la rédaction du numéro.

Ainsi, nous avons proposé au président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, Christophe Georgy, fin connaisseur du rexisme, le soin de rassembler différentes contributions. Ont ainsi collaboré à ce premier numéro Francis Bergeron, bien connu des lecteurs de Présent, qui a publié il y a quelques années une biographie de Hergé qui fut un temps proche de Degrelle ; Camille Galic, qui nous raconte sa rencontre surprenante avec Degrelle à Madrid ; Pierre Vial, historien apprécié dans nos milieux, nous parle, pour sa part, du « mythe bourguignon » ; Edwige Thibaut, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, examine les qualités humaines de ce chef de peuple au cours de cette période tumultueuse. Nous publions un discours peu connu de Degrelle prononcé à Berlin le 7 février 1943 ainsi qu’un texte de Saint Loup. Nous interrogeons l’un des derniers témoins de l’épopée sur le Front de l’Est, Fernand Kaisergruber. D’autres, comme Henry de Fersen, Pierre Gillieth, Yvan Benedetti, Joël Laloux, Alberto Torresano, Alexandre Gabriac, Jean-Yves Dufour nous donnent aussi leurs impressions sur tel aspect de son œuvre ou telle période de sa vie.  Nous avons essayé de réaliser un document le plus complet possible.

- Quels sont les prochains sujets envisagés. Comment comptez-vous diffuser ces Cahiers ?

Le deuxième numéro sortira en juin. Il sera consacré à un autre personnage qui a marqué l’histoire du mouvement national en France. Il s’agit de François Duprat qui fut, durant les années 60 et 70, le théoricien du nationalisme-révolutionnaire. François Duprat était aussi l’un des principaux dirigeants du Front national, il fut assassiné pour des raisons qui restent encore mystérieuses en mars 1978. L’enquête n’a jamais aboutie et les éléments de celle-ci sont toujours classés « secret défense ».  Cependant, il laissa derrière lui une œuvre considérable qui mérite d’être plus connue. Fidèle à notre principe rédactionnel, nous avons confié à Alain Renault, ancien secrétaire général du FN et sans doute l’un des plus proches amis de François Duprat, le soin de réaliser ce numéro 2.

Le numéro suivant racontera un épisode peu connu de l’histoire des nationalistes. Au milieu des années 70, alors que la guerre sanglante opposant les chrétiens aux milices musulmanes déchirait le Liban, un groupe d’une cinquantaine de volontaires, essentiellement composé d’étudiants, se rendit sur place pour soutenir les Phalangistes de Béchir Gemayel. L’un d’entre eux, Stéphane Zanettacci, ne reviendra pas, il tomba lors d’un assaut près de Beyrouth. Cette aventure ne doit pas tomber dans l’oublie, elle mérite d’être écrite.

Puis suivront d’autres numéros qui aborderont des thèmes aussi variés que l’histoire du mouvement Ordre nouveau, la campagne Tixier-Vignancour en 1965 ou la résistance héroïque du Maréchal Mannereim en Finlande face à l’Armée rouge, numéro que nous devrons à Jean-Claude Rolinat, écrivain, formidable conteur et collaborateur régulier de votre journal…

Je vous le disais, les sujets sont tellement nombreux que Les Cahiers d’Histoire du nationalisme n’ont pas finit de faire parler d’eux.

Pour ce qui est de la diffusion, outre dans « les bonnes librairies », vous pouvez commander un exemplaire (20€ + 3€ de port) ou, mieux encore, vous abonner (110€ pour 6 numéros – chèque à l’ordre de Synthèse nationale). Ecrivez à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris. Vos suggestions sont aussi les bienvenues.

2638390_orig.jpgNDLR : le n°2 des Cahiers d'Histoire du Nationalisme sortira très prochainement. Il sera consacré à François Duprat, responsable nationaliste révolutionnaire assassiné en mars 1978.

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17/05/2014

"RIVAROL" PARLE DU 1er NUMERO DES "CAHIERS D'HISTOIRE DU NATIONALISME" CONSACRE A LEON DEGRELLE...

2324674723.jpgUn article de Robert Spieler paru dans Rivarol du 24 avril dernier cliquez ici :

Il y a quelques semaines paraissait dans les pages nécrologiques des quotidiens belges Le Soir et L’Avenir ce texte : « 31 mars 2014 : vingtième anniversaire de la disparition de l’écrivain et poète JEAN DOUTRELIGNE 1906-1994. Auteur de ‘Notre-Dame’ de la ‘Sagesse’, ‘Révolution des âmes’, ‘La Chanson ardennaise’, ‘La Grande Bagarre’… Sa famille, ses amis, ses disciples ne l’oublient pas. » Jean Doutreligne est le pseudonyme de… Léon Degrelle, qui écrivit de magnifiques poèmes. La parution de cette annonce à laquelle les services des deux journaux n’y virent que du feu suscita évidemment la joie chez certains et la fureur chez d’autres. C’est une des nombreuses anecdotes que l’on trouve dans le livre consacré à Léon Degrelle dans la nouvelle collection de Synthèse nationale, pilotée par Roland Hélie et intitulée « Cahiers d’histoire du nationalisme ». On y trouve des contributions de Camille Galic, Francis Bergeron, Pierre Vial, Yvan Benedetti, Alexandre Gabriac, Henri de Fersan et d’autres qui nous pardonneront de ne pas les citer tous. On y trouve aussi un article de Saint-Loup et un important discours de Léon Degrelle, prononcé le 7 février 1943 à Berlin, intitulé : « Pour la révolution nationale-socialiste ». Christophe Georgy nous présente la biographie du « beau Léon ». Ses soldats le surnommaient aussi affectueusement « Modeste 1er de Bourgogne » car il n’avait, à juste titre, pas la réputation d’être d’une modestie excessive.

Naissance et jeunesse

C’est dans les Ardennes belges, dans la petite ville de Bouillon, située à trois kilomètres de la frontière française, au nord de Sedan, que nait Léon, Joseph, Marie, Ignace Degrelle, le 15 juin 1906, dans une famille d’origine française, très catholique. Son père, Edouard Degrelle, brasseur de métier, avait quitté la France en 1901 car il était opposé aux persécutions qu’imposait le ‘Petit Père Combes’ aux congrégations religieuses. Léon Degrelle fut très marqué, dans sa jeunesse par l’affreuse guerre qui ravagea l’Europe, n’épargnant pas la Belgique. En novembre 1918, il est choisi pour présenter un compliment aux officiers français qui entrent à Bouillon. Le jeune scout fera à cette occasion le tour de la ville, main dans la main avec un officier dont le nom est… Philippe Pétain à qui il vouera toute sa vie une profonde admiration. Dès l’âge de seize ans, il se passionne pour la littérature et notamment pour l’œuvre de Charles Péguy. Il écrit des poèmes et commence à collaborer à des journaux.

Degrelle journaliste

Il commence à s’intéresser à la politique et grâce à la lecture de Charles Maurras dans l’Action française, il se forge ses premières convictions personnelles. Il lit aussi Léon Daudet et Jacques Bainville. C’est au cours de ses études en faculté de lettres et de philosophie thomiste à l’Université catholique de Louvain qu’il est repéré par Mgr Picard qui voit déjà en lui un vrai meneur. Il lui propose, alors qu’il n’a que vingt ans, de prendre la direction d’un journal d’étudiants dont il portera, grâce à son talent d’éditorialiste, les ventes à 10 000 exemplaires, chiffre impressionnant pour ce type de publication. Mais la consécration viendra avec sa rencontre avec l’abbé Norbert Wallez, directeur du grand journal catholique Le Vingtième siècle, qui l’engage.

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29/04/2014

N°1 des Cahiers d'Histoire du Nationalisme

Cahiers-d-histoire.couv_1.jpgN°1 des Cahiers d'Histoire du Nationalisme

206 pages

18,00 € (+ 3,00 € de port)

Il y a vingt ans, le 31 mars 1994, disparaissait Léon Degrelle…

Figure exaltante de la vie politique belge des années 30 et du début des années 40, Léon Degrelle avait entraîné derrière lui une masse impressionnante de ses compatriotes en créant le mouvement rexiste, particulièrement implanté dans la partie francophone de la Belgique. N’ayant pas hésité à s’engager dans la grande croisade européenne contre le bolchevisme qui le conduisit jusqu’aux portes de Stalingrad, il en paya lourdement les conséquences après avoir miraculeusement réussi à se réfugier en Espagne. Resté fidèle à ses convictions, de son exil ibérique où il resta retenu jusqu’à sa mort sans ne jamais revoir sa chère patrie, il continua à travailler pour la noble cause nationaliste et européenne…

Vingt ans après sa mort, il nous a semblé utile de publier cette somme de témoignages, parfois contradictoires mais toujours fascinants, sur ce chef de peuple qui n’a jamais laissé insensibles ceux qui l’ont approché…

Ce premier numéro consacré à Léon Degrelle, réalisé sous la direction de Christophe Georgy, comprend une très bonne biographie, les textes de Francis Bergeron, Pierre Vial, Jean-Yves Dufour, Alexandre Gabriac, Camille Galic, Joël Laloux, Fernand Kaisergruber, Michael Hemday, Armand Gerard, Alberto Torresano, Edwige Thibaud, Henri de Fersan, Yvan Benedetti, Pierre Gillieth et Saint-Loup ; des dessins inédits et de nombreuses photos...

Léon Degrelle, documents et témoignages… réalisé sous la direction de Christophe Georgy, numéro un de Cahiers d'Histoire du Nationalisme, nouvelle revue éditée par Synthèse nationale, 206 pages, 20,00 €.

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A l'occasion du lancement des Cahiers d'Histoire du Nationalisme : un entretien avec Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

P1010959.jpgUn entretien avec Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d’Histoire du nationalisme.

Roland Hélie, depuis 8 ans vous dirigez la revue Synthèse nationale, revue qui est devenue incontournable dans le paysage médiatique national,, et vous lancez maintenant une nouvelle publication, Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

Synthèse nationale, comme vous le rappelez parfaitement, existe depuis maintenant 8 ans. Le premier numéro étant sorti en octobre 2006. Il s’agit là d’une revue politique qui, à chacune de ses livraisons, nous en sommes au 35e numéro, analyse l’actualité du moment. Or, pour bien comprendre l’actualité, il faut connaître le passé.

Mais il y a dans notre famille d’idées des revues d’Histoire…

Il existe effectivement des revues très bien faites, comme par exemple la Nouvelle Revue d’Histoire lancée par Dominique Venner il y a une dizaine d’années, qui décortiquent l’histoire. Mais aucune n’aborde vraiment, depuis longtemps en tout cas, l’histoire du mouvement national et nationaliste. D’où l’idée que nous avons eu de lancer Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Un peuple qui ne connaît pas son Histoire est un peuple condamné… Il en va de même pour une famille politique.

Beaucoup pensent, ou voudraient penser, que la Droite nationale est née comme cela, il y a quelques décennies, telle une génération spontanée, de la conjugaison d’une crise latente et de la volonté de quelques hommes de qualité. En réalité, l’émergence de la Droite nationale (et nationaliste) au début des années 80, que ce soit en France où un peu partout en Europe, est la résultante de toute une histoire, faite de héros et d’événements, de périodes exaltantes et d’autres plus sombres, que beaucoup de militants d’aujourd’hui ignorent, hélas, trop fréquemment.

Quel est votre objectif premier ?

Un militant bien formé et bien informé est un militant qui va plus loin…

Les expériences du passé permettent de mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Celles-ci peuvent être enrichissantes si elles sont bien comprises. Le monde change en permanence, les enjeux évoluent, mais nombre de réalités demeurent constantes. S’il est important de ne pas rester les yeux rivés sur un passé, adulé ou honni, il ne faut pas pour autant rejeter complètement celui-ci.

Nos adversaires, et aussi parfois nos amis, ont une vision manichéenne des choses qui leur interdit d’être objectifs. Notre devoir est de rétablir la vérité, même si celle-ci n’est pas toujours aussi heureuse qu’on le souhaiterait. C’est dans l’intérêt des combats que nous menons actuellement.

C’est dans cet esprit que la revue Synthèse nationale, que nous lançons cette nouvelle publication que vous avez entre vos mains. Elle est destinée à faire connaître, aux militants de la cause nationaliste bien sûr, mais aussi au plus grand nombre de nos compatriotes, les hommes et les femmes, ainsi que les grands faits, qui ont marqués l’histoire, souvent ignorée et trop souvent caricaturée, de notre famille politique.

Comment avez-vous conçu cette revue ?

Régulièrement, à chaque livraison, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme aborderont un thème, qu’il s’agisse de la vie et du combat d’un personnage historique, comme c’est le cas dans le premier numéro qui sort à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, d’une période au cours de laquelle les nationalistes ont joué un rôle important ou encore celle d’un mouvement ou d’une organisation qui a marqué son temps. Bref, ce ne sont pas les thèmes ni les sujets qui manquent...

Ne craignez-vous pas que l’on reproche à cette revue de vouloir faire resurgir les vieux démons du passé ?

Que les choses soient claires dès le début. Il ne s’agit pas pour nous de vouloir « réviser » l’histoire et encore moins de chercher à glorifier un passé qui, avec le recul, peut être discuté. La Droite nationale n’a pas toujours fait les meilleurs choix. Mais doit-on pour autant lui jeter éternellement la pierre et lui faire porter toutes les responsabilités possibles et imaginables. ? Après tout si personne ne dit rien, nos adversaires pourront continuer à raconter n’importe quoi. Et ce sur toutes les périodes au cours desquelles notre famille d’idées à joué un rôle. Ne laissons plus le monopole de notre Histoire aux autres, telle pourrait être la devise de la revue…

Le vingtième anniversaire de la mort de Léon Degrelle a donc été le sujet choisi pour cette première livraison.

Léon Degrelle est un personnage controversé de l’Histoire. La presse aux ordres n’hésite jamais à l’attaquer. Il fut pourtant l’un des acteurs majeurs de la Seconde Guerre mondiale et le fait qu’il réussit à survivre à celle-ci en a fait une cible privilégiée des media.

Pour ce premier numéro, nous avons donc demandé à notre ami Christophe Georgy, le dynamique Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, donc fin connaisseur de cette épopée fantastique que fut la vie du fondateur du rexisme belge, de rassembler les témoignages sur ce personnage mythique qui ne laissait pas insensibles ceux qui, admirateurs ou détracteurs, ont eu l’occasion de l’approcher. Léon Degrelle nous a quitté il y a tout juste 20 ans, le 31 mars 1994 comme vous le rappelez justement. Il nous a semblé utile de rappeler, à travers ces diverses contributions, qui il était, ce que furent ses idées et son combat, ainsi que l’aventure héroïque qui fut la sienne.

Et après ? Quels sont les projets de la revue ?

Et puis, d’autres numéros suivront. La deuxième livraison, prévue pour mai, traitera du nationalisme révolutionnaire de François Duprat, autre personnage mythique du Panthéon nationaliste… Un numéro sera consacré à une aventure peu connue, celle des nationalistes français qui se sont engagés aux côtés des Phalangistes libanais au cours de la guerre civile qui déchira le Liban au milieu des années 70. Un autre numéro, réalisé sous la direction de notre ami Jean-Claude Rolinat, à qui on doit une remarquable biographie du Président portugais Salazar (Salazar le regretté, publié aux Bouquins de Synthèse nationale en février 2012, cliquez ici), sera consacré au Maréchal Mannerheim, chef de la Finlande des années 40, qui mena la vie dure à la sanguinaire Armée soviétique qui tentait d’annexer son pays. Il est en préparation…

Comment comptez-vous diffuser ces Cahiers d’Histoire du Nationalisme ?

Pour pérenniser cette nouvelle collection et pour que vous ne manquiez pas un numéro, nous vous proposons la classiques formule de l’abonnement. Celle-ci, indépendante de l’abonnement à Synthèse nationale cliquez là, vous permettra de recevoir chaque numéro des Cahiers d’Histoire du nationalisme dès leur parution.

Un dernier mot…

Nous en avons tous assez d’entendre l’Histoire du mouvement et des idées nationalistes racontée par les autres, et bien trop souvent par ceux qui sont mal intentionnés à notre encontre qui prennent un malin plaisir à la falsifier. Cette entreprise a pour objectif de rétablir la vérité sur notre Histoire. Il était urgent de la lancer. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide et sur votre fidélité pour la continuer…

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